LE PELLERIN

Nous y voyons là l'apologie de la ruine, conservant l'intégralité du bâtiment existant, avec ses fêlures.

A l'intérieur, comme à l'extérieur, nous prenons le partie de la pierre apparente sur toutes les parties dans le bâtiment existant.

La surélévation, simple, se veut évoquer l'architecture vernaculaire de la grande contemporaine. Le bâtiment existant, monopente, reste visible avec ses fêlures de façon assumé. Les matériaux bruts viennent dialoguer pour révéler le choc des époques. Afin de gagner un étage, la façade est est surélevée et le faitage est axé aux niveau des espaces servants, les chambres.